La logique mobile-first a permis aux acteurs du digital d’absorber dix ans d’explosion du trafic sur smartphone. Aujourd’hui, la maturité des usages français pousse vers des modèles hybrides, toujours plus souples et centrés sur l’expérience globale.
En 2024, aucune entreprise ne peut se permettre de négliger le mobile. Mais la pertinence du mobile-first “pur” s’effrite : il s’agit désormais de concevoir selon les besoins réels des utilisateurs, de s’adapter à leurs parcours et d’orchestrer une symphonie de supports numériques. Le meilleur investissement n’est plus dans la priorité au mobile, mais dans l’harmonie, la rapidité, l’accessibilité et la personnalisation, sur tous les écrans.
À l’aube de la domination annoncée de l’IA dans l’expérience utilisateur (chatbots, recommandations, adaptation dynamique de l’interface), c’est la promesse d’une ère “user-first” : fluide, contextuelle et hautement performante, quelle que soit la taille de l’écran.
Sources : Médiamétrie, Fevad, ARCEP, StatCounter, CREDOC, Google, Backlinko, App Annie, Marketo, Contentsquare, Access42.